Dossiers femmes

 

Les 16 jours d’activisme
contre la violence sexiste

29 novembre | Jour 5

Aujourd’hui, c’est la Journée internationale des femmes défendant les droits humains et il est d’une importance vitale de le souligner. C’est un jour où l’on fait honneur aux femmes qui, dans une perspective désintéressée, luttent contre les stéréotypes, l’intolérance et la haine par souci de l’égalité entre toutes et tous ainsi que de la défense des femmes du monde entier dont les droits sont bafoués..

Contributions : veiller à en apprendre plus long sur la Journée internationale des femmes défendant les droits humains en visitant le site Web situé à l’adresse http://www.defendingwomen-defendingrights.org/ (site Web en anglais seulement), se porter à la défense des femmes qui s’élèvent publiquement contre toutes les violences commises à l’égard des femmes et des filles et, tout en y associant le mot-clic #UFCW (« #TUAC ») dans le but de diffuser sur les médias sociaux le message qu’on désire communiquer, en envoyer un gazouillis au compte dont le pseudonyme est @UFCWCanada (« @TUACCanada ») 


30 novembre | Jour 6

Il y a peut-être bien des gens qui ne le savent toujours pas, mais les militantes et les militants des TUAC Canada collaborent étroitement et activement avec les membres du syndicat et avec diverses organisations à but non lucratif en vue de mettre définitivement un terme à toute violence sexiste à l’échelle nationale, sur la scène provinciale et à l’échelon local. De même, la population n’est peut-être toujours guère au courant, mais par l’entremise de leur webCampus, les TUAC Canada proposent gratuitement des cours donnés sur l’internet qui, par exemple, ont trait au microcrédit ou à l’art de dresser un budget ou bien visent précisément à favoriser l’émancipation de la femme. À l’échelon national, depuis quelques années, l’organisation syndicale contribue aussi à l’œuvre de l’organisme Hébergement Femmes Canada et, récemment, elle a collaboré à l’élaboration d’un modèle de Plan d’action national du Canada sur la violence faite aux femmes et aux filles. Également, par l’entremise du Comité de la condition féminine et de l’égalité des sexes du Conseil national des TUAC Canada, le syndicat prend part à des initiatives menées à l’échelle locale, aux quatre coins du pays, dans le but de faire cesser les violences à l’égard des femmes. 

Contributions : pour en savoir plus long sur le Comité de la condition féminine et de l’égalité des sexes du Conseil national des TUAC Canada, visiter la page Web située à l’adresse www.tuac.ca/femmes, aller parcourir celle qui se trouve à l’adresse www.tuac.ca/webCampus afin d’obtenir de plus amples informations sur le webCampus des TUAC Canada et, tout en y associant le mot-clic #UFCW (« #TUAC ») dans le but de diffuser sur les médias sociaux le message qu’on désire communiquer, en envoyer un gazouillis au compte dont le pseudonyme est @UFCWCanada (« @TUACCanada ») 


1er décembre | Jour 7

Le 1er décembre est la date de la Journée mondiale de lutte contre le SIDA. Il s’agit là d’une occasion excellente dont toutes et tous peuvent profiter pour faire preuve de solidarité dans la lutte contre la propagation du VIH (virus de l’immunodéficience humaine). C’est aussi un moment tout trouvé pour témoigner la volonté de soutenir les gens qui sont porteurs du VIH ou sont atteints du SIDA ainsi que ceux qui en sont déjà morts. C’est en 1988 que cette journée a été proclamée et c’était alors la première fois qu’à l’échelon mondial, on consacrait une date du calendrier à une question relevant de la santé des gens.

Contributions : se familiariser avec ce que représentent le VIH et le SIDA en visitant le site Web qui se trouve à l’adresse https://www.worldaidsday.org/ (site Web en anglais seulement), se renseigner auprès du réseau local de lutte contre le VIH et le SIDA en vue de pouvoir prendre part à une activité se tenant à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le SIDA près de chez soi et, tout en y associant le motclic #UFCW (« #TUAC ») dans le but de diffuser sur les médias sociaux le message qu’on désire communiquer, en envoyer un gazouillis au compte dont le pseudonyme est @UFCWCanada (« @TUACCanada ») 


2 décembre | Jour 8

On en arrive donc à la Journée internationale pour l’abolition de l’esclavage, qui a pour raison d’être de commémorer la décision prise le 2 décembre 1949 par l’Assemblée générale des Nations Unies d’adopter la Convention pour la répression et l’abolition de la traite des êtres humains et de l’exploitation de la prostitution d’autrui.

En soulignant cette journée, on encourage tout le monde à renouveler sa volonté de contribuer à faire disparaître les formes d’esclavage qui existent toujours actuellement telles que la traite de personnes, l’exploitation sexuelle, le travail des enfants, les mariages forcés et l’action de recruter de force des enfants pour en faire des soldats.

À l’heure actuelle, d’après l’OIT (Organisation internationale du Travail), le nombre de personnes vivant en esclavage sous au moins l’une de ces formes serait estimé à 21 millions, ce qui aurait pour effet d’injecter 150 milliards de dollars états-uniens en profits illicites dans l’activité économique du secteur privé chaque année.

Contributions : s’engager à appuyer la campagne visant à convaincre au moins 50 pays de ratifier d’ici 2018 le Protocole de l’Organisation internationale du Travail sur le travail forcé, qui vise à mettre un terme à toute forme d’esclavage moderne, et, tout en y associant le mot-clic #UFCW (« #TUAC ») dans le but de diffuser sur les médias sociaux le message qu’on désire communiquer, en envoyer un gazouillis au compte dont le pseudonyme est @UFCWCanada (« @TUACCanada ») 


3 décembre | Jour 9

Puis, le 3 décembre, c’est la Journée internationale des personnes handicapées. Selon le RAFH (Réseau d’action des femmes handicapées) du Canada, la violence à l’égard des handicapées n’est pas simplement une sous-catégorie de la violence sexiste, mais une triste combinaison où celle-ci s’accompagne immanquablement du désir de les agresser motivé par un mépris pour les gens handicapés en général. Toute personne qui a une déficience tout en étant de sexe féminin risque bien davantage qu’un handicapé ou une femme exempte de toute déficience de subir des violences sous une forme ou sous une autre à l’âge adulte. De plus, les facteurs représentant pour elles autant d’obstacles de diverses natures peuvent aussi leur compliquer la démarche si elles souhaitent porter plainte. Il s’agit, par exemple, de la difficulté de faire appel aux services d’un refuge, de se renseigner pour savoir si l’on offre près de chez elles ceux qu’il leur faudrait ou d’avoir accès à un moyen de transport adapté et de la peur de perdre leur sécurité financière ou, selon le cas, leurs prestations d’aide sociale. 

Contributions : soutenir l’œuvre des organisations qui cherchent à faire cesser tant la violence à l’égard des gens handicapés que celle qui est commise à l’égard des femmes et des filles, s’intéresser aux activités du RAFH du Canada, discuter avec les autres membres d’une organisation sensible aux questions de cet ordre dont on fait soi-même partie (si c’est le cas) de ce qu’elle pourrait faire en collaboration avec d’autres organisations de la même nature par volonté de soutien mutuel en vue de mettre définitivement un terme à la violence sexiste et, tout en y associant le mot-clic #UFCW (« #TUAC ») dans le but de diffuser sur les médias sociaux le message qu’on désire communiquer, en envoyer un gazouillis au compte dont le pseudonyme est @UFCWCanada (« @TUACCanada ») 


4 décembre | Jour 10

Si l’on n’a jamais entendu parler de la campagne des TUAC Canada intitulée Combler l’écart, il faut savoir qu’il s’agit là de la volonté déclarée d’amener le gouvernement de chacune des provinces du pays à s’engager à mettre un terme à l’existence de l’écart salarial entre les deux sexes par souci absolu de respect des droits de la personne. L’écart salarial en question, c’est la différence de rémunération ou de salaire entre les hommes et les femmes au travail. Au Canada, cette différence, défavorable aux femmes, est actuellement de l’ordre de 30 % et elle est accrue dans le cas de celles qui n’ont pas la peau blanche, ne sont pas canadiennes d’origine, appartiennent à un peuple autochtone ou bien ont une déficience physique ou intellectuelle. C’est pourquoi, par équité salariale dans ce contexte, on entend « l’égalité, au sens concret, en fait de respect et de valeur reconnue, entre le travail des hommes et celui des femmes ». 

Contributions : se renseigner pour savoir ce qu’on peut faire en vue de contribuer à combler l’écart salarial entre les deux sexes, aller voir la page Web située à l’adresse www.tuac.ca/comblerlecart pour envoyer une lettre à l’État afin de l’exhorter à modifier les lois dans le but de le faire disparaître et, tout en y associant le mot-clic #UFCW (« #TUAC ») dans le but de diffuser sur les médias sociaux le message qu’on désire communiquer, en envoyer un gazouillis au compte dont le pseudonyme est @UFCWCanada (« @TUACCanada ») 


5 décembre | Jour 11

Dans un certain contexte précis, il n’y a que le tiers des Canadiennes et Canadiens qui comprendraient le sens du mot consentement.

Si l’on en croit les résultats d’un sondage mené en 2015 par la Fondation canadienne des femmes, les deux tiers des gens ainsi interrogés n’étaient alors pas conscients que, pour être considéré comme parfaitement fiable et véritable, le consentement devait être clair (en étant exprimé, entre autres possibilités, par la prononciation du mot oui) non seulement au commencement de l’acte sexuel, mais du début à la fin de celui-ci. 

Contributions : parler du consentement sexuel aux gens que l’on connaît pour leur expliquer ce que c’est, faire comprendre aux enfants et aux jeunes qu’ils ont le droit de veiller à leur intégrité physique et celui de se fixer des limites à ce qu’ils peuvent accepter, aller voir le feuillet des TUAC Canada portant sur le consentement en ce sens qui a été préparé en collaboration avec le FAEJ (Fonds d’action et d’éducation juridiques pour les femmes) et, tout en y associant le mot-clic #UFCW (« #TUAC ») dans le but de diffuser sur les médias sociaux le message qu’on désire communiquer, en envoyer un gazouillis au compte dont le pseudonyme est @UFCWCanada (« @TUACCanada ») 


6 décembre | Jour 12

C’est le 6 décembre 1989 qu’eut lieu la tuerie de l’École Polytechnique de Montréal, au Québec. En effet, ce jour-là, un homme armé assassina 14 femmes et en blessa 10 autres uniquement parce que c’étaient des personnes de sexe féminin. Depuis lors, en hommage à ces femmes, le 6 décembre est devenu la Journée de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes.

Contributions : participer à une veillée se tenant près de chez soi à l’occasion de la Journée de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes pour rendre hommage aux femmes qui ont perdu la vie en subissant des violences de nature sexiste, faire preuve de solidarité sur ce point en prenant part à des activités que des organisations auront préparées afin de faire cesser définitivement toute violence à l’égard des femmes et, tout en y associant le mot-clic #UFCW (« #TUAC ») dans le but de diffuser sur les médias sociaux le message qu’on désire communiquer, en envoyer un gazouillis au compte dont le pseudonyme est @UFCWCanada (« @TUACCanada »)


7 décembre | Jour 13

Présentement, bien qu’il soit possible que tout le monde n’en ait pas tellement entendu parler, le gouvernement du Canada effectue une enquête nationale sur la disparition et le meurtre de femmes et filles autochtones. Dans un rapport qu’elle a récemment publié sur ce point, la GRC (Gendarmerie royale du Canada) fait état de données détaillées sur la disparition ou le meurtre de 1 100 femmes autochtones du pays. Pour leur part, les TUAC Canada appuient le principe et la tenue de cette enquête tout en contribuant à veiller à ce que le processus en soit juste et à ce qu’on ne néglige absolument aucune piste dans ce cadre afin que les familles des femmes autochtones qui ont perdu la vie en subissant des violences ou une agression s’y fassent entendre et respecter et que justice soit enfin faite dans le cas des nombreuses affaires de cet ordre qui ne sont toujours pas résolues.

Contributions : participer à une activité se tenant en guise de témoignage de solidarité avec les femmes et les filles autochtones subissant des violences, dont plusieurs qui en ont déjà perdu la vie, ainsi qu’avec leurs familles, organiser une manifestation se faisant en groupe d’ami(e)s et se tenant dans la rue, près de chez soi, à l’occasion de la Marche commémorative de la Saint-Valentin (le 14 février) pour contribuer à mettre un terme à la violence à l’égard des femmes et filles autochtones, s’intéresser au feuillet d’information traitant de l’enquête nationale sur la disparition et le meurtre de femmes et filles autochtones que les TUAC Canada ont préparé et, tout en y associant le mot-clic #UFCW (« #TUAC ») dans le but de diffuser sur les médias sociaux le message qu’on désire communiquer, en envoyer un gazouillis au compte dont le pseudonyme est @UFCWCanada (« @TUACCanada »)


8 décembre | Jour 14

Bien qu’il se puisse que peu de gens en soient informés, c’est seulement quelques jours après la présente date qu’on en arrivera à celle de la Journée internationale pour l’élimination des violences faites aux travailleuses et travailleurs du sexe, c’est-à-dire le 17 décembre. C’est en 2003 que cette journée fut soulignée pour la première fois, à titre de veillée commémorative en hommage aux victimes du tueur de la Green River, qui, de 1982 à 1998, non loin de Seattle, dans l’État de Washington, a assassiné au moins 71 femmes, pour la plupart travailleuses du sexe. Pendant la semaine du 17 décembre, aux quatre coins de la planète, différentes organisations de défense de leurs droits feront des manifestations et tiendront des veillées afin de favoriser l’émancipation des travailleuses et travailleurs du sexe, de faire changer les choses d’une manière constructive en ce qui les concerne et de sensibiliser les gens aux violences qui seraient fréquemment commises à leur égard.

Contributions : en apprendre plus long quant à cette journée de sensibilisation et d’action en se rendant au site Web situé à l’adresse http://www.december17.org/ et, tout en y associant le mot-clic #UFCW (« #TUAC ») dans le but de diffuser sur les médias sociaux le message qu’on désire communiquer, en envoyer un gazouillis au compte dont le pseudonyme est @UFCWCanada (« @TUACCanada »)


9 décembre | Jour 15

Comme on ne peut que s’en rendre compte en y réfléchissant un peu, c’est précisément en adhérant à une organisation syndicale qu’on peut combattre le plus efficacement les inégalités en milieu de travail. Or, la moitié des membres des TUAC Canada, présents un peu partout dans le pays, sont des femmes. Les délégué(e)s du syndicat qu’on voit en milieu de travail sont formés pour veiller à ce que les droits de l’ensemble des travailleuses et travailleurs y soient respectés. De plus, puisqu’on prend bien soin de faire garantir l’application du principe du salaire égal à travail égal en négociant tout contrat collectif de travail, il n’y a de disparités entre les femmes et les hommes ni en matière de rémunération ni en fait d’avantages sociaux dans aucun milieu de travail dont le personnel est syndiqué.

Contributions : faire publiquement remarquer les avantages de l’adhésion à un syndicat et la protection assurée aux syndiqué(e)s sous toutes les formes voulues grâce à la négociation collective, s’adresser à la représentante ou au représentant syndical(e) ou bien à la ou au délégué(e) du syndicat en milieu de travail pour se renseigner en cas d’incertitude quant aux droits que l’on a en vertu du contrat collectif de travail, se dire clairement ou se rappeler qu’on a le droit de savoir quels sont tous ceux qu’on doit pouvoir exercer en tant que travailleuse ou travailleur et qu’on a notamment celui de travailler dans des conditions qui ne soient pas dangereuses, communiquer avec le bureau de la section locale dont on fait précisément partie pour savoir en quoi on peut lutter activement en faveur des droits des femmes et, tout en y associant le mot-clic #UFCW (« #TUAC ») dans le but de diffuser sur les médias sociaux le message qu’on désire communiquer, en envoyer un gazouillis au compte dont le pseudonyme est @UFCWCanada (« @TUACCanada »)


10 décembre | Jour 16

Le 10 décembre, c’est la date de la Journée internationale des droits de la personne. Si c’est celle qu’on a choisie en tant que telle, c’est que c’est justement ce jour-là, en 1948, que l’Assemblée générale des Nations unies adopta la Déclaration universelle des droits de l’homme. C’était alors la première fois qu’à l’échelon mondial, on proclamait l’existence des droits de la personne; de même, il s’agit là de l’une des premières grandes réalisations de l’Organisation des Nations Unies, qui avait été créée quelques années plus tôt seulement. Également, en vertu de la Déclaration, on reconnaît aux femmes et aux filles le droit de vivre sans subir de violences.

Contributions : se renseigner sur ce que font les TUAC Canada en vue de favoriser ou de faire avancer la reconnaissance et le respect des droits des femmes tant au Canada qu’à l’échelle internationale, aller voir le site Web situé à l’adresse www.tuac.ca pour en savoir plus long là-dessus, communiquer avec le Service des droits de la personne, de l’équité et de la diversité en composant le 416 675-1104 pour s’adresser à une représentante ou un représentant national(e), avoir fermement la conviction que, tous ensemble, les gens peuvent faire changer les choses et, tout en y associant le mot-clic #UFCW (« #TUAC ») dans le but de diffuser sur les médias sociaux le message qu’on désire communiquer, en envoyer un gazouillis au compte dont le pseudonyme est @UFCWCanada (« @TUACCanada »)